Pokémon : 2 idées de défis à se lancer pour augmenter la difficulté de ces jeux

janvier 3rd, 2016

Après le précédent article parlant d’un jeu Pokémon amateur (plus précisement d’un hack), cette fois-ci je vais rester dans les jeux officiels de cette série, et je vais détailler 2 défis à tester pour augmenter la difficulté de ces jeux, qui, soyons honnêtes, en manquent parfois un peu ; cela dépend certes des générations de jeux de cette série, je me suis arrêté à la 4ème génération (celle de Diamant, Perle et Platine), je ne pourrai donc pas parler des générations suivantes, cela dépend aussi du temps que l’on décide de s’accorder pour entraîner ses Pokémon contre des Pokémon sauvages afin de les faire monter en niveau avant de continuer l’aventure, mais dans l’ensemble ces jeux sont quand même relativement simples à finir pour des RPG. Je parle de « finir » dans le sens « vaincre le Conseil des 4 et le Maître de la ligue » (ou Red pour les versions Or et Argent et leurs remakes, ou les plus puissants dresseurs du jeu de manière générale), pas dans le sens de compléter le Pokédex : là, c’est évidemment beaucoup long et complexe, même en se limitant au Pokédex régional…

Bref, si parfois le manque de difficulté de certains des jeux de cette série vous ennuie, je vais donc vous proposer 2 défis afin de rendre le jeu plus difficile.

Je précise d’emblée que je ne proposerai pas le Nuzlocke, il s’agit certes d’un défi rendant le jeu bien plus difficile, mais d’une part, ce défi est bien connu au sein des habitués de ces jeux, et d’autre part… bien que reconnaissant la grande difficulté de ce défi, je dois avouer que celui-ci ne me tente pas plus que ça…

Non, je vais ici proposer des choses plus originales, en tout cas je l’espère.

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Pokémon – Team Rocket Edition (TRE) – premières impressions et récit du début

juin 13th, 2015

Aujourd’hui, je vais partager mon expérience sur un jeu Pokémon, mais il ne s’agit pas d’un des jeux officiels, mais d’un hack, autrement dit d’un jeu qui a été modifié (« hacking » signifiant à l’origine quelque chose comme « bidouillage ») par des « amateurs », dans le but de proposer un scénario totalement nouveau.

En effet, j’ai auparavant rejoué à certains des premiers jeux Pokémon (la version Rouge pour la première génération et la version Or pour la deuxième), en me lançant le défi de faire l’intégralité de ces deux jeux avec comme seul Pokémon pour les combats (les quelques autres Pokémon capturés n’étant utilisés que dans le but d’utiliser les CS en dehors des combats, chose indispensable pour finir les jeux, mais ils n’ont pas participé aux combats) un Rattatac, je pensais alors qu’il y aurait une certaine difficulté à battre les dresseurs les plus puissants (les Champions des arènes, le Conseil des 4, et surtout Red dans la version Or) avec ce Pokémon pas très puissant, que j’allais rencontrer des difficultés, un challenge, bref, quelque chose de motivant…

Si j’ai certes rencontré quelques difficultés, je n’ai rien ressenti non plus d’insurmontable, même face à Red, j’ai alors choisi de chercher de nouveaux défis dans les hacks réalisés par les « amateurs ». En regardant dans la liste des hacks de jeux Pokémon présents sur l’un des sites de référence, et en triant en fonction des scénarios ou des modifications par rapport aux jeux d’origine, j’ai donc choisi Pokémon – Team Rocket Edition , réalisé par « PokeGlitch », et je vais vous détailler mes premières impressions.

Bien que ce jeu soit en anglais, j’utiliserai ici les noms français des Pokémon. Pour ceux qui se poseraient la question, même avec mon niveau moyen en anglais, je n’ai pas eu de soucis à comprendre les dialogues du jeu. (Pokémon en anglais, ce n’est pas Fate/Stay Night non plus…)

Attention, la suite de cet article dévoilera le début de l’histoire.

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Tuto : Jouer aux visual novels confortablement devant sa télé

septembre 13th, 2014

Bonjour à tous,

aujourd’hui, j’ai choisi de rédiger ce tuto pour partager la solution que j’ai trouvée pour pouvoir jouer aux visual novels devant l’écran de sa télévision au lieu de l’écran de son ordinateur.

Pourquoi ce tuto ?

Avant de commencer, j’explique les raisons pour lesquelles je trouve qu’il est plus agréable de jouer devant un écran de grande taille comme celui d’une télévision, à l’heure où les portages des VN se font plutôt pour les écrans de petite taille des smartphones et tablettes, typiquement sous Android et iOS.

Tout d’abord, je trouve que c’est plus confortable de regarder les images, d’écouter la musique et de lire le texte sur un écran de grande taille, en étant installé dans un canapé à une bonne distance de l’écran, que d’être fixé devant un écran de taille moyenne (un écran de PC fixe ou de PC portable) devant une chaise d’ordinateur. Sans oublier que pour ceux qui font un travail de bureau, l’ordinateur est symbole de travail, tandis que la télé est plus un symbole de détente. Pour ce qui est des écrans de petite taille des tablettes, j’ai déjà essayé, mais je trouve que mis à part le côté « mobile », ce n’est pas très agréable, en raison de l’absence ou du nombre généralement restreint de boutons d’une part, et d’autre part en raison de la perte de détails des décors sur un petit écran. Quand aux écrans minuscules des smartphones… je crois que je vais m’abstenir…

Par ailleurs, la majorité des VN réalisés récemment bénéficient de décors en haute définition : il est de plus en plus rare d’avoir des productions récentes en deçà d’une définition de 1280 pixels de largeur par 720 pixels de hauteur (du 720p), et certaines d’entre elles atteignent même les 1920 pixels de largeur par 1080 pixels de hauteur (du 1080p). Évolution que nous apprécierons mieux devant un écran de grande taille.

Je vais donc débuter ce tuto : je mettrai des captures d’écran, étape par étape, et j’essaierai de rester clair dans les termes que j’emploie, pour ne pas embrouiller les débutants.

Ah, étant donné que l’immense majorité des VN sont prévus pour Windows (certes il existe parfois des versions Mac et Linux, et Wine pour faire plus ou moins bien fonctionner des programmes Windows sous Linux), que la majorité des solutions employées sont également prévues pour Windows, et que de toute façon les joueurs de VN comme les joueurs de jeux vidéo « classiques » jouent à 99% sous Windows, ben… ce tuto sera pour Windows.

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Pourquoi je quitte l’association Kawa-Soft

mai 12th, 2014

Bon, ce blog a été abandonné pendant plusieurs années, pour diverses raisons, la première étant ma motivation pour continuer à écrire dedans.

Cependant, j’ai fait le choix de renouveler chaque année le nom de domaine associé à ce blog. D’une part pour laisser mes vieux écrits en ligne, en particulier le dernier avant celui-ci : si aujourd’hui j’y trouve quelques légères retouches à faire pour le faire correspondre à mes points de vue actuels, cela reste important pour moi d’avoir pu exprimer pas mal de choses avec cet article. Et d’autre part, car l’espace FTP associé à ce nom de domaine me permet de stocker certaines choses en ligne (créations personnelles, quelques images de memes, quelques geekeries…), sur un espace qui m’appartient.

 

Cependant, voila que je réécris sur ce blog, afin d’éclaircir les raisons de ma démission de l’association Kawa-Soft.

Je ne voyais pas l’intérêt de faire un long message dessus, mais le président de l’association, Mereck, m’y invite néanmoins, je me suis dit qu’il pourrait être utile de mettre les choses au clair, afin que ça soit fait.

 

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Death Note, le refus du débat, et la connerie ambiante

septembre 27th, 2010

Et oui, un autre sujet que les VN sur ce blog…

Ce soir, je me décide à lâcher d’un coup ce que j’ai de gros sur le cœur depuis trop longtemps, environ trois ans maintenant… et je vous préviens, je ne vais pas mettre de gants.

Je préciserai autant que possible mes points de vue et positions personnelles (souvent en gras), afin qu’on ne me fasse dire ce que je n’ai pas dit.

Je devrais logiquement faire une présentation de Death Note, mais vu que normalement les chances que les visiteurs de mon blog connaissent déjà cette série, et pour la plupart ont déjà fini de la lire ou de la regarder, je vais faire court.

Le personnage principal de la série, Light Yagami, est au commencement de l’histoire un lycéen de 17 ans. C’est un très bon élève, et c’est également un « enfant » précoce. Il ne rencontre pas de difficultés particulières dans sa vie quotidienne, mais il s’ennuie dans un monde qu’il estime pourri à cause du crime et du pouvoir. (peut-on vraiment lui donner tort ?)

Un jour, il récupère par hasard un cahier magique, le « Death Note », qui permet de tuer quelqu’un en écrivant son nom. Seules conditions, il faut connaître le nom et le visage de la personne.

Bien évidemment, au départ, Light croit à une mauvaise farce, mais il va l’utiliser « pour voir » lorsqu’il entend parler d’une prise d’otage dans une école. Après avoir vu que ça marchait, et après avoir fait un deuxième essai sur un violeur, Light décide alors de se mettre à tuer tous les criminels grâce à sa Death Note.

Face à la situation, une sorte de super-détective dont personne ne connait ni le nom ni l’identité, connu sous le pseudonyme de « L », décide de mener l’enquête afin d’arrêter celui que la presse appelle désormais « Kira ». S’ensuivra alors une guerre psychologique entre ces deux personnages, afin de découvrir l’identité de l’autre et de le supprimer…

Pour la suite, je suppose que vous avez déjà lu ou regardé cette série, mais si vous ne l’avez pas lue ou vue, ou pas terminée, et que vous ne voulez pas que je vous gâche la fin, ne cliquez pas sur le « lire le reste de cet article » ci-dessous.

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